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Quatrième de couverture
Des monstres menacent la ville ? Une solution : l’Agence
Pendergast !
Au pied de la statue de la Liberté se cache une organisation
secrète très spéciale, l’Agence Pendergast. Ses super agents ont pour mission d’intercepter
les créatures paranormales qui arrivent à New York dans le flot des migrants. Entre
Joe l’Indien cogneur, et Célia, la liseuse de cartes, la bande de l’Agence
cherche à s’agrandir. Pourquoi pas avec ce jeune voleur des rues, pris la main
dans le sac ? Filou et intrépide, Sean Donovan est la nouvelle recrue de
M. Pendergast.
Mais encore faut-il qu’il fasse ses preuves… Chaparder les
portefeuilles des New-Yorkais n’est rien à côté des épreuves qui l’attendent !
Mon avis
Le Prince des ténèbres
est le premier tome de L’Agence
Pendergast, une série jeunesse qui a attisé ma curiosité, il faut dire que
le pitch est assez tentant. En tout cas, la découverte a été très bonne et je
suis d’ores et déjà curieuse de lire la suite pour savoir ce que fera Sean
Donovan et quelles seront les prochaines missions de l’Agence.
Je ne ferai pas de résumé de l’histoire, la 4e de
couverture étant suffisamment explicite pour savoir de quoi il s’agit d’autant
que les événements arrivent assez vite pour s’en rendre compte. Il faut dire
que le roman est court, moins de 200 pages, donc autant dire que cela file
droit, dès les premières pages on est plongé dans l’univers, on fait
connaissance des personnages et tout s’organise très vite. Ce n’est pas pour me
déplaire et cela ne pourra qu’intéresser les jeunes lecteurs qui n’aiment pas
les intrigues qui trainent un peu en longueur. Ici ce n’est pas du tout le cas,
donc parfaitement adapté pour de jeunes lecteurs qui n’aiment pas trop lire en
quête d’aventure !
L’écriture de l’auteur est agréable à lire et fluide de
sorte que l’on rentre rapidement dans l’histoire. C’est simple mais efficace
dans le genre. Il s’agit d’un premier tome introducteur qui permet de faire
connaissance avec les personnages, de voir Sean découvrir l’Agence Pendergast
et en quoi elle consiste et ainsi, peut-être l’intégrer. Mais cela reste
prenant et intéressant et cela m’a rendu curieuse pour lire la suite, que je
possède déjà et que je lirai prochainement.
L’univers a un petit côté Men in Black, une agence
qui permet de repérer des créatures paranormales et de les intégrer à notre société
ou bien à les en extraire s’ils sont dangereux et qu’ils n’ont pas d’intention
louable. Mais au lieu d’extraterrestres, il s’agit ici de créatures
fantastiques en tout genre, vampires, trolls, loups-garous, etc. ce qui n’est
pas pour me déplaire.
Quant à l’intrigue, elle est bonne et bien menée, assez succincte
mais avec un roman si court ce n’est pas très étonnant mais ça reste efficace
et prenant, j’ai vraiment passé un bon moment de lecture. Même si ce temps a
été assez court puisqu’en un trajet pour le bout (en gros 1h) le roman était
lu. Mais cela a piqué ma curiosité à vif, j’avais envie de savoir ce qui allait
arriver à Sean, la décision qu’il allait prendre vis-à-vis de l’Agence. Une première
mission, malgré lui, qui va le confronter au Prince des ténèbres.
D’ailleurs, à ce sujet c’est intéressant de voir les
références qui sont faites. On retrouve des personnages mythiques, comme un
certain vampire venant de Transylvanie… Et à l’heure où j’écris ces lignes, j’ai
déjà lu le deuxième tome qui va aussi nous réserver quelques surprises, mais je
reviendrai dessus dans la chronique du 2e tome : Le monstre des égouts.
Les personnages sont plutôt attachants et sympathiques pour ce
que j’ai pu voir. À commencer par Sean Donovan, un jeune adolescent de 15 ans
(même si avec les illustrations, je lui donnerai davantage 12/13 ans), voleur
qui va se retrouver face à un dilemme. Continuer ses larcins auprès de Bill le
Boucher ou bien intégrer l’Agence Pendergast en tant qu’informateur. Il est évident
que lorsqu’on traîne dans les rues pour voler, on peut entendre toute sorte de
choses et être un bon indic, d’autant qu’il connaît la ville comme sa poche.
Pour l’instant, on n’en sait pas beaucoup sur les autres
membres de l’Agence, à commencer par son fondateur Archibald Pendergast, ou
encore des membres d’une équipe : Célia et Joe l’indien. Mais le peu que l’on
peut voir, on sent que c’est une équipe soudée, qui ont tous un passé compliqué.
Ils ont des personnalités qui leur sont propres, de quoi faire un groupe
éclectique où l’on peut s’y retrouver et passer un bon moment en leur
compagnie. J’ai hâte d’en savoir plus sur eux.
En bref, Le Prince des
ténèbres est un premier tome agréable, bien qu’un peu court pour moi donc c’était
un peu frustrant mais ça reste plaisant à lire et très efficace dans le genre. L’univers
est intéressant et me rappelle le film Men
in Black mais dans une version plus historique et avec des créatures
surnaturelles en tout genre. Les personnages sont intéressants et sympathiques
et je suis très curieuse de les retrouver dans une nouvelle aventure car cela
ne fait que commencer !
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