Perfect World, vol. 8 de Rie Aruega

Quatrième de couverture

Kawana a le cœur rempli de regrets et elle est enfin prête à l’admettre. Chamboulée par cette prise de conscience, elle se rend chez Ayukawa, en laissant Koré-Éda en plan. L’heure des retrouvailles semble avoir sonné, mais les décisions les plus importantes ne sont-elles pas les plus douloureuses ? Certains pourraient souffrir des choix de la jeune femme...

Mon avis

Venant de lire le 7e tome de la série, je n’ai pas pu m’empêcher d’enchaîner tous les tomes que je venais d’acheter en vue du confinement. Ayant pris tous les tomes disponibles à ce jour, du 7 au 10, ceux qu’ils me manquaient, j’ai donc lu à la suite ces 4 tomes.

Ainsi, mes chroniques pour chaque volume seront assez courtes car j’aurai la sensation de me répéter (d’autant que je les écris à l’affilée) mais je tiens quand même à faire un article par tome pour un aspect plus pratique au blog et pas de parler de manière générale de cette série.

Je ne ferai pas de résumé de l’histoire, la 4e de couverture étant suffisamment explicite pour savoir de quoi il s’agit d’autant que les événements arrivent assez vite pour s’en rendre compte. les événements reprennent peu de temps après le tome précédent, Kawana ne peut plus ignorer ce qu’elle ressent pour Ayukawa et regrette que tout se soit arrêté de cette manière. Une prise de conscience qui est valable pour nos deux personnages qui vont donc se remettre en question et prendre des décisions difficiles mais nécessaires.

C’est vraiment un tome intéressant à ce niveau-là, même s’il y a des dégâts collatéraux puisqu’Ayukawa et Kawana étaient respectivement en couple avec quelqu’un d’autre. Mais avec tous les événements qui se sont déroulés, ils vont tous les deux trouver un certain équilibre et leur place malgré les embûches qui se présentent à eux.

Dans ce tome, on voit quelques éléments du passé d’Ayukawa ce qui va nous permettre de mieux comprendre le chemin qu’il a parcouru, de ce que Mme Nagasawa, l’ex-infirmière et du coup la copine actuelle d’Ayukawa a pu lui apporter à l’époque. On voit leur relation, infirmière-patient et c’était vraiment intéressant de voir ce qu’ils se sont apportés mutuellement. Une page qui se referme en quelque sorte mais qui leur aura permis à tous les deux de se reconstruire, une relation qui leur aura permis d’évoluer, malgré tout.

En bref, ce 8e tome de Perfect World m’a bien plu, il est dans la lignée des précédents et va petit à petit remettre nos deux personnages sur le même chemin. Cela ne se fera pas sans heurt, ça sera toujours compliqué mais au moins tous les deux vont prendre conscience de ce qu’ils veulent dans la vie, envers et contre tout. Ils ont parcouru beaucoup de chemin tous les deux et ils savent qu’ils ne peuvent plus être l’un sans l’autre. Mais à quel prix ?

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