Maman Ours déménage de Ryan T. Higgins (Maman Ours 3)

Quatrième de couverture

Michel l’ours grincheux habite avec ses oisons adoptifs (car il est leur Maman) et avec trois souris turbulentes (car elles refusent de partir). Michel, qui n’aime rien tant que la solitude, craque. Puisque les souris restent, c’est lui qui part !
Lorsqu’il trouve la maison de ses rêves, sans une souris à l’horizon, il sent quelque chose d’inhabituel lui chatouiller le visage : un sourire ! Mais son répit sera de courte durée. Les souris n’ont pas dit leur dernier mot et comptent bien organiser une crémaillère d’anthologie...

Mon avis

Maman ours déménage est le 3e volume des aventures de Michel, « cette maman oie » qui a dû, par la force des choses, adopter 4 petites oies. Dans le tome précédent, les souris avaient squatté sa maison durant ses vacances et avaient changé la maison en hôtel. Tout cela avait bien entendu agacé Michel qui craque totalement.


Puisqu’on ne peut pas le laisser tranquille, il décide, dans ce nouvel opus, de partir et de trouver une nouvelle maison. Mais ça ne sera pas de tout repos, car bien sûr, il faut trouver un endroit agréable et assez grand pour lui et ses oies. Mais une fois la perle rare trouvée, ses oies vont déprimer, les souris leur manquent… mais ces dernières n’ont pas dit leur dernier mot !


L’histoire est toujours aussi amusante. Il faut voir la tête de Michel quand il voit ce qu’est devenu sa maison et sa tranquillité, c’est à mourir de rire. Il est vraiment pas content et tire une tête…Pauvre Michel, il n’avait pas demandé cette vie-là mais il faut bien avouer, qu’elle est bien plus mouvementée et intéressante que lorsqu’il était tout seul.

L’illustration est toujours aussi sympathique, après on aime ou pas ce type de graphisme mais cela me plaît et cela donne un bel ensemble. Les expressions de Michel sont extras.


En bref, Maman ours déménage est une nouvelle aventure sympathique et amusante dans laquelle Michel va se trouver une nouvelle maison car il en a assez des souris qui squattent sa maison, tout comme les oies qu’il a dû adopter d’ailleurs. Mais parfois, dans la vie, il y a des choses que l’on ne peut pas prévoir ni contrôler et il faut savoir s’en contenter.

A partir de 4 ans.

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